Œuvres, Band 6Giguet et Michaud, 1800 |
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... bois , si chers à sa memoire . Ayant travaillė sans livre , je ne puis pas répondre qu'il n'y ait dans ce poëme quelques traces de rémi- niscence . J'en préviens d'avance ceux qui font un grand crime de ces petits torts . cultivateur ...
... bois , si chers à sa memoire . Ayant travaillė sans livre , je ne puis pas répondre qu'il n'y ait dans ce poëme quelques traces de rémi- niscence . J'en préviens d'avance ceux qui font un grand crime de ces petits torts . cultivateur ...
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... bois , les fleurs et la verdure ; Je lui pardonne encor : j'aime à voir la nature , Toujours chassée en vain , vengeant toujours ses droits , Rentrer à force d'art chez les grands et les rois . Mais je vois en pitié le Crésus imbécille ...
... bois , les fleurs et la verdure ; Je lui pardonne encor : j'aime à voir la nature , Toujours chassée en vain , vengeant toujours ses droits , Rentrer à force d'art chez les grands et les rois . Mais je vois en pitié le Crésus imbécille ...
Seite 39
... bois , ces soleils pâlissans , Intéressent notre ame , en attristant nos sens : Le printemps nous inspire une aimable folie ; L'automne , les douceurs de la mélancolie . On revoit les beaux jours avec ce vif transport Qu'inspire un ...
... bois , ces soleils pâlissans , Intéressent notre ame , en attristant nos sens : Le printemps nous inspire une aimable folie ; L'automne , les douceurs de la mélancolie . On revoit les beaux jours avec ce vif transport Qu'inspire un ...
Seite 40
... bois , et trembler dans les eaux ! L'hiver , je l'avoûrai , je suis l'ami des villes : Là des charmes ravis aux campagnes fertiles , Grâce au pinceau flatteur , aux sons harmonieux , L'image frappe encor mon oreille et mes yeux ; Et j ...
... bois , et trembler dans les eaux ! L'hiver , je l'avoûrai , je suis l'ami des villes : Là des charmes ravis aux campagnes fertiles , Grâce au pinceau flatteur , aux sons harmonieux , L'image frappe encor mon oreille et mes yeux ; Et j ...
Seite 43
... bois , et les piéges des ondes . Compagne des Silvains , des nymphes vagabondes , Muse , viens , conduis - moi dans leurs sentiers déserts : Le spectacle des champs dicta les premiers vers . Sous ces saules touffus , dont le feuillage ...
... bois , et les piéges des ondes . Compagne des Silvains , des nymphes vagabondes , Muse , viens , conduis - moi dans leurs sentiers déserts : Le spectacle des champs dicta les premiers vers . Sous ces saules touffus , dont le feuillage ...
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९९ æquora agaric amours animaux arbres arva atque avoit beautés beaux jours beaux lieux belle bois bois pétrifié bonds brillant bruit Buffon Cérès cerf cervus champêtres champs chant charme chéris cieux cœur connoissances connoît coquilles coteaux course d'autres débris déserts différentes Dolon douce doux eaux embellir enfans enfin Éole errante espèces étoit féconde feuilles fleurs fleuves flots forêts forme frimats fruits fucus Géorgiques gloire goût hameau heureux Imitez insectes jardins jeune jeux l'air l'amour l'animal l'art l'homme l'onde lavanges Limagne loin long-temps luzerne Lycoris marbre montagnes monts mouche nature nautile Nayades Note de l'auteur objets ondes Palès paroissent pedum peuple pierreuse plaisirs plantes poëme poësie poëte poëtiques polypes qu'un quelquefois racines rameaux rians riches rivaux rochers rocs Rome antique ruisseaux s'élance sait séjour seul silvis substances Tantôt terre thuya torrens traduction trésors triste troupeaux vallons vaste végétaux verdure vestigia Virgile volcans vole yeux
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Seite 171 - To them his heart, his love, his griefs were given, But all his serious thoughts had rest in Heaven. As some tall cliff that lifts its awful form, Swells from the vale, and midway leaves the storm...
Seite 172 - Yet he was kind, or, if severe in aught, The love he bore to learning was in fault...
Seite 169 - Near yonder copse, where once the garden smiled, And still where many a garden flower grows wild ; There, where a few torn shrubs the place disclose, The village preacher's modest mansion rose. A man he was to all the country dear, And passing rich with forty pounds a year; Remote from towns he ran his godly race, Nor e'er had changed, nor wished to change, his place.
Seite 248 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais « faite, est celle de ce fier et fougueux animal, qui « partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire
Seite 171 - At church, with meek and unaffected grace, His looks adorn'd the venerable place; Truth from his lips prevail'd with double sway, And fools, who came to scoff, remain'd to pray.
Seite 172 - While words of learned length, and thund'ring sound, Amaz'd the gazing rustics rang'd around ; And still they gaz'd, and still the wonder grew, That one small head could carry all he knew.* But pass'd is all his fame.
Seite 171 - Beside yon straggling fence that skirts the way, With blossom'd furze unprofitably gay, There, in his noisy mansion, skilled to rule, The village master taught his little school. A man severe he was, and stern to view ; I knew him well, and every truant knew...
Seite 243 - ... tum, si qua sonum procul arma dedere, stare loco nescit, micat auribus et tremit artus, collectumque fremens volvit sub naribus ignem. 85 densa iuba, et dextro iactata recumbit in armo ; at duplex agitur per lumbos spina, cavatque tellurem et solido graviter sonat ungula cornu.
Seite 172 - The village master taught his little school. A man severe he was, and stern to view, I knew him well, and every truant knew : Well had the boding tremblers...
Seite 171 - The reverend champion stood. At his control Despair and anguish fled the struggling soul ; Comfort came down the trembling wretch to raise, And his last faltering accents whispered praise.