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deprives him, in some degree, of the extreme happiness which this belief confers upon him, and consequently throws him into a rage.

The sentiment religieux in a man leads to the establishment of forms in different countries, that he may have the pleasure of seeing all men think like him. If a passionate lover dared, and had the power, he would oblige the public only to speak on its knees of the woman he adores.

After having spoken of that which he calls the sentiment religieux, M. Constant gives us a little refutation of the philosophy which has reigned in Paris for the last thirty years. This philosophy teaches, that man is invariably determined in his actions by the view of some actual pleasure; that a human being is never induced to act except in order to procure some actual pleasure. The French assert, that this is true, even in the case of a man who blows out his brains with a pistol,--even in the case of Regulus, when he left Rome and returned to Carthage to perish in dreadful torments. For though it be pretty clear that no man conceives the blowing out of his brains to be an agreeable operation, yet he prefers it to a greater pain. The balance of pleasure is in favour of priming and loading. Regulus was well aware of the tenpenny nails with which the Carthaginians threatened to spike him on his return: but he had a higher pleasure to gratify-the pride of marching out of Rome with the respect and admiration of all he left in it, and the assurance of an immortal fame in the history of his country.

M. Constant begins by saying, "L'effet naturel de ce système de philosophie est de faire que chaque individu soit son propre centre. Or quand chacun est son propre centre, tous sont isolés. Quand tous sont isolés, il n'y a que de la poussière. Quand l'orage arrive la poussière est de la fange.' Which being interpreted, is, "The natural effect of this system of philosophy is to make every individual his own centre. Now when every one is his own centre all are isolated. When all are isolated there is nothing but dust. When the storm comes on, the dust is mud.”(Preface, p. xxxvii.)

This exquisite reasoning, of which M. Constant has many specimens, is

quite worthy of M. de la, Boulogne, or any other fanatical preacher in or out of Paris.

The manner, at once frivolous and assuming, in which M. Constant undertakes the refutation of this philosophy, which with the majority of educated Frenchmen is considered as established by every day's experience, will be probably one of the greatest obstacles to the success of his book among the coteries of Paris. M. Constant contends that the theory of actual pleasure can not explain generous sacrifices, without deigning to recollect that the philosopher who first brought this doctrine into vogue in France adduced as an example the very instance of Regulus voting at Rome against peace with the Carthaginians, and returning afterwards to meet a dreadful punishment at Carthage; an action which, down to the time of M. Constant at least, passed for one of sufficient generosity.

Two men are walking on the bank of a river: a child falls into the water, is carried away by the stream, and is in danger of perishing. One of the two spectators is satisfied with deploring the accident; the other conceives the idea that it would be possible to throw himself into the river and save the child. The mo ment this man conceives the possibility of this generous action, his pleasure obliges him to throw himself into the water, and to attempt it. If he does not do it, he will be pursued by the remorse of having contributed to the death of the unfortunate child: he will be pursued by his self-contempt.

This is the reasoning, palpable enough, which in France is in every body's mouth, and M. Constant_undertakes to refute it by mystical arguments, borrowed from the unfortunate German philosophy, the laughing stock of Europe. It is singular that so skilful a person as M. Constant should be ignorant of a fact confirmed by a thousand experiments: viz. that in France nothing that is obscure will take. A Frenchman tormented by variety, and accustomed to the clear and striking light in which Voltaire sets every proposition which he enounces, is always afraid of being taken for a dupe, if he gives a momentary assent to what is not intelligible to all the world. We admire as much as any

one the delicate and epigrammatic mind of M. Constant. His speeches in the Chamber are embarrassing to his adversaries, and very amusing to the reader, but the moment he meddles with high philosophy his genius abandons him. We imagine we see a mite on a Seville orange: the insect, on account of its own infinite littleness, loses itself in the valleys deep to him, with which the peel is furrowed; and after having travelled a long time on the immense body whose figure he investigates, he boldly concludes that an orange is

not round.

Whatever justice there is in the comparison, or whatever reach there may be in M. Constant's philosophy, nothing is less clear than the style of the reasoning of which his work is compounded. We shall choose some of the clearest passages for our readers' instruction, and to spare them the pains of hunting them out in the work itself, which may be called the blunder of a man of talent.

1.-Le sentiment religieux est une loi fondamentale de l'homme. Les hordes sauvages, les tribus barbares, les nations qui sont dans la force de l'état social, celles qui languissent dans la décrépitude de la civilisation, toutes éprouvent la puissance de ce sentiment indestructible.

2.-Nous pouvons donc considérer ce sentiment comme universel: ne serait-il qu'une grande erreur ?

Quelques hommes le disent de temps à autre. La peur, l'ignorance, l'autorité, la ruse, telles sont, à les entendre, les premières causes de la religion; ainsi des causes toutes passagères, extérieures et accidentelles, auraient changé la nature intérieure et permanente de l'homme, et lui auraient donné une autre nature, et, chose bizarre, une nature dont il ne peut se défaire, même lorsque ces causes n'existent plus!

Car c'est en vain que ses connaissances s'étendent, et qu'en lui expliquant les lois physiques du monde, elles lui apprennent à ne plus leur assigner pour moteurs des êtres qu'il importune de ses adorations ou qu'il fléchisse par ses prières. Les enseignements de l'expérience repoussent la religion sur un autre terrain, mais ne la bannissent pas du cœur de l'homme. A mesure qu'il s'éclaire, le cercle d'où la religion se retire s'agrandit. Elle recule, mais ne disparaît pas. Ce que les mortels croient, et ce qu'ils espèrent, se place toujours, pour ainsi dire, à la circonférence de ce qu'ils savent. L'imposture et l'autorité peuvent abuser de la religion, mais n'auraient pu la créer. Si elle n'était pas

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4.-L'on a dénaturé la religion. L'on a poursuivi l'homme dans ce dernier asyle, dans ce sanctuaire intime de son existence. La persécution provoque la révolte. L'autorité, déployant ses rigueurs contre une opinion quelconque, excite à la manifestation de cette opinion tous les esprits qui ont quelque valeur.

5.-De là, dans tous les siècles où les

hommes ont reclamé leur indépendance morale, cette résistance à la religion qui a paru dirigée contre la plus douce des affections, et qui ne l'était en effet que contre la plus oppressive des tyrannies. En plaçant la force du côté de la foi on avait mis le courage du côté du doute.

6. Le moment est donc favorable pour nous occuper de ce vaste sujet, sans partialité comme sans haine. Le moment est favorable pour juger la religion comme un fait dont on ne saurait contester la réalité, les modifications successives. et dont il importe de connaître la nature et

7. La recherche est immense. Ceux même qui la croient telle ne l'ont pas appréciée dans toute son étendue. Bien qu'on ait beaucoup écrit sur cette matière, la question principale reste encore inaperçue. Un pays peut être long-temps le théâtre de la guerre, et demeurer, sous tous les autres rapports, inconnu aux troupes qui le parcourent. Elles ne voient dans les plaines que des champs de bataille, dans les montagnes que des postes, dans les vallons que des défilés. Ce n'est qu'à la paix qu'on examine le pays pour le pays même.

8.-Tel a été le sort de la religion, vaste contrée, attaquée et défendue avec une ténacité, une violence égales, mais que n'a visité aucun voyageur désintéressé, en donner une description pour nous fidéle.

9.-L'on n'a jusqu'ici envisagé que l'extérieur de la religion. L'histoire du sentiment intérieur reste en entier à concevoir et à faire. Les dogmes, les croyances, les pratiques, les cérémonies, sont des formes que prend le sentiment intérieur et qu'il brise ensuite. D'après quelles lois prend-il ces formes? D'après quelles lois en change-t-il? Ce sont des questions que personne n'a examinées. L'on a décrit les dehors du labyrinthe: nul n'a percé jusqu'au centre, nul ne le pouvait. Tous cherchaient l'origine de la religion dans des circonstances étrangères à l'homme, les dévots comme les philosophes. Les uns ne voulaient pas que l'homme pût étre religieux sans une révélation particu

lière et locale; les autres sans l'action des objets extérieurs. De là une erreur première, de là une série de longues erreurs. Oui, sans doute, il y a une révélation, mais cette révélation est universelle, elle est permanente, elle a sa source dans le cœur humain. L'homme n'a besoin que de s'écouter lui-même, il n'a besoin que d'écouter la nature qui lui parle par mille voix, pour etre invinciblement porté à la religion. Sans doute aussi, les objets extérieurs influent sur les croyances; mais ils en modifient les formes, ils ne créent pas le sentiment intérieur qui leur sert de base.

10. Si la religion vient de la peur, pourquoi les animaux, dont plusieurs sont plus timides que nous, ne sont-ils pas religieux ? Si elle vient de la reconnaissance, les bienfaits comme les riguers de la nature physique étant les mêmes pour tous les êtres vivants, pourquoi la religion n'appartient-elle qu'à l'espèce humaine? 11.-Le sentiment religieux naît du besoin que l'homme éprouve de se mettre en communication avec les puissances invisi

bles.

La forme naît du besoin qu'il éprouve également de rendre régulieurs et permanents les moyens de communication qu'il

croit avoir découverts.

La consécration de ces moyens, leur régularité, leur permanence, sont des choses dont il ne peut se passer. Il veut pouvoir compter sur sa croyance; il faut qu'il la retrouve aujourd'hui ce qu'elle était hier, et qu'elle ne lui semble pas, à chaque instant, prête à s'évanouir et à lui échapper comme un nuage. Il faut, de plus, qu'il la voie appuyée du suffrage de ceux avec lesquels il est en rapport d'intérêt, d'habitude et d'affection: destiné qu'il est à exister avec ses semblables, et à communiquer avec eux, il ne jouit de son propre sentiment que lorsqu'il le rattache au sentiment universel. Il n'aime pas à nourrir des opinions que personne ne partage; il aspire pour sa pensée, comme pour sa conduite, à l'approbation des autres, et la sanction du dehors est nécessaire à sa satis faction intérieure.

De là résulte à chaque époque l'établissement d'une forme positive, propor tionnée à l'état de cette époque.

Mais toute forme positive, quelque satisfaisante qu'elle soit pour le présent, contient un germe d'opposition aux progrès de l'avenir. Elle contracte, par l'effet même de sa durée, un caractère dogmatique et stationnaire qui refuse de suivre l'intelligence dans ses découvertes, et l'ame dans ses émotions que chaque jour rend plus épurées et plus délicates. Forcée, pour faire plus d'impression sur ses sectateurs, d'emprunter des images presque matérielles, la forme religieuse n'offre bientôt plus à l'homme fatigué de ce monde qu'un monde à peu près semblable. Les idées qu'elle suggère deviennent de plus en plus

étroites, comme les idées terrestres dont elles ne sont qu'une copie, et l'époque arrive, où elle ne présente plus à l'esprit que des assertions qu'il ne peut admettre; à l'ame, que des pratiques qui ne la satisfont point. Le sentiment religieux se sépare alors de cette forme pour ainsi dire pétrifiée. Il en réclame une autre qui ne le blesse pas, et il s'agite jusqu'à ce qu'il l'ait trouvée.

Voilà l'histoire de la religion; on doit voir maintenant que si l'on confond le sentiment et la forme, on ne s'entendra jamais.

12. Une loi éternelle qu'il faut reconnaître, quelque opinion que nous ayons d'ailleurs sur des questions que nous avouons être insolubles, une loi éternelle semble avoir voulu que la terre fût inhabitable, quand toute une génération ne croit plus qu'une puissance sage et bienfaisante veille sur les hommes. Cette terre, séparée du ciel, devient pour ses habitants une prison, et le prisonnier frappe de sa tête les murs du cachot qui le renferme. Le sentiment religieux s'agite avec frénésie sur des formes brisées, parce qu'une forme lui manque que l'intelligence perfectionnée puisse admettre.

Que cette forme paraisse, l'opinion l'entoure, la morale s'y rattache, l'autorité, quelque temps rebelle, finit par céder; tout rentre dans l'ordre, les esprits inquiets, les ames épouvantées retrouvent le repos.

C'est en effet ce qui arrive à l'apparition de la religion chrétienne. Le sentiment religieux s'empare de cette forme épurée ; sa portion vague, mélancolique et touchante y trouve un asyle, au moment où l'homme ayant acquis des connaissances sur les lois des choses physiques, la religion existante a perdu l'appui que lui prêtait l'igno

rance.

13.-Des nations puissantes et policées ont adoré des dieux qui leur donnaient l'exemple de tous les vices. Qui n'eût pensé que ce scandaleux exemple devait corrompre les adorateurs? Au contraire, ces nations, aussi long-temps qu'elles sont restées fidèles à ce culte, ont offert le spectacle des plus hautes vertus.

Ce n'est pas tout. Ces mêmes nations se sont détachées de leur croyance, et c'est alors qu'elles se sont plongées dans tous les abîmes de la corruption. Les Romains, chastes, austères, désintéressés, quand ils encensaient Mars l'impitoyable, Jupiter l'adultère, Vénus l'impudique, ou Mercure le protecteur de la fraude, se sont montrés dépravés dans leurs mœurs, insatiables dans leur avidité, barbares dans leur égoïsme, lorsqu'ils ont délaissé les autels de ces divinités féroces ou licencieuses.

D'où vient ce phénomène bizarre? Les hommes s'amélioreraient-ils en adorant le vice? Se pervertiraient-ils en cessant de 'adorer ?

Non, sans doute; mais aussi long-temps

que le sentiment religieux domine la forme,
il exerce sur elle sa force réparatrice. La
raison en est simple: le sentiment religieux
est une émotion du même genre que toutes,
nos émotions naturelles; il est, en consé-
quence, toujours d'accord avec elles. Il
est toujours d'accord avec la sympathie, la
pitié, la justice, en un mot, avec toutes les
vertus. Il s'ensuit qu'aussi long-temps
qu'il reste uni avec une forme religieuse,
les fables de cette religion peuvent être
scandaleuses, ses dieux peuvent être cor-
rompus, et cette forme néanmoins avoir un
effet heureux pour la morale.

14. Le peuple qui attribuait son origine aux amours de Mars et d'une vestale, n'en infligeait pas moins à toute vestale séduite un supplice rigoureux.

Le caractère moral des dieux n'a pas non plus l'influence qu'on suppose. Quel que soit ce caractère, la relation établie entre les dieux et les hommes est toujours la même. Leurs égarements particuliers demeurent étrangers à cette relation, comme les désordres des rois ne changent rien aux lois contre les désordres des individus.

Dans l'armée du fils de Philippe, le soldat Macédonien, convaincu de meurtre, eût été condamné par Alexandre, bien que son juge fut l'assassin de Clitus. Pareils aux grands de ce monde, les dieux ont un caractère public et un caractère privé. Dans leur caractère public, ils sont les appuis de la morale: dans leur caractère privé, ils n'écoutent que leurs passions; mais ils n'ont de rapports avec les hommes que dans leur caractère public.

These extracts have not been taken at random-though they may appear long, and are culled from different parts of the work, yet they are connected together, and carry on M. Constant's train of speculation. From them the reader may form a very complete idea of the gist of the whole volume, and may be saved the trouble of looking further. So much, the importance of the subject, the fame of Benjamin Constant, and the expectations attached to the work seemed to demand and no more.

'TIS PAST THE FOND-THE FLEETING DREAM.
'Tis past-the fond-the fleeting dream
Of love and hope is o'er,

And darkly steals life's troubled stream
Unto the silent shore.

But still this broken heart of mine

Shall be thy memory's mournful shrine,
Till it is laid at rest with thine,

Where grief is felt no more.

My sorrow seeks no lonely spot,
In some far desert placed;

To me each scene where thou art not
Is but a joyless waste.

Where all around is bright and fair

I only feel thou art not there,

And turn from what thou canst not share,

And sigh to be at rest!

I bow no more at beauty's shrine,

For me her charms are vain;

The heart that once hath loved like mine

Can never love again.

The wreathing smile, the beaming eye,

Are pass'd by me unheeded by;

And where thy ruin'd relics lie,
My buried hopes remain.

Life's latest tie hath sever'd been
Since thou hast ceased to be;

Our hearts the grave hath closed between.
And what remains for me

In this dark pilgrimage below?

A vain regret-a cherished woe

And tears that cannot cease to flow

Whene'er I think of thee.

THE PORTRAIT PAINTER. No. II.

Sono Pittore!-Sal. Rosa.

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He was incontrovertibly handsome, in the usual acceptation of the word, but I may be fastidious-his nose and forehead had nothing of the Apollo; he depended on the red and white tints of his complexion for effect, not to the finely blended light and shade of countenance and expression: there was a want of soul, but how did I dare to think so when his wife at my elbow was whispering, loud enough for him to hear and smile, "Is'nt his face exquisite? and his figure too is perfect syinmetry!" "My love, he sighed forth, read to me, or-stay, it will be better, play to me." She struck a few notes; "No-give me Lord Byron, dear; I'll read myself-aye-and I think this will be the best attitude after all." He accordingly began: "I stood at Venice on the bridge of sighs, &c." till reaching "She looks a sea Cybele fresh from ocean;" he suddenly stopped: "That line always annoys me," he exclaimed; "he lays the stress on the wrong syllable, and I am such a slave to harmony!"

I was surprised to hear it, for I had been remarking a peculiar want of that quality in his reading; and some reflections arose in my mind, which it was as well he could not divine.

It occurs to me that the tone people assume in reading poetry is owing to a great mistake; they seem to think it necessary to throw off all natural intonation, and to substitute an inflated and sonorous sound, little better, in fact, than a monotonous drawl.

There are certain teachers of what they call elocution in this great town, who, as Dowton says, "teach folks to mouth, and pick their pockets in return:" they labour in their vocation, and their pupils only are to blame; but why those, from whom we might expect better, who have received classical educations, been accustomed to hear and see things worthy of remark and imitationwhy they should roar, and growl, and thunder forth the simplest and most natural passages; making verse hideous, merely because it is verse they are reading, is inexplicable to me.

I admit that poetry, how true soever to nature, is not the common every-day language of men, and demands therefore a tone in delivering it, exalted above the usual tone of ordinary conversation; but there is a delicate medium that equally avoids affectation and vulgarity, and steers between both with inexpressible grace; we seldom hear this off the stage (too seldom on)-those who have listened to the reading of the late Mrs. Sh-d-n's brother, have felt the truth of this; but he is all music, and "could not if he would" be otherwise than melodious.

I think correct judgment and purity of ear may confer this charm without the necessity of instruction. I am sure instruction can do nothing where those qualities are not.

But my mind wanders-I demand it back.

Now and then my sitter, leaving his studied posture, lounged towards the looking-glass in which he adjusted his dress, smoothed his eye-brows, and having thus "re-strung his bow, re-filled his quiver," returned to the charge.

As the admiring partner of his life was also to share his toils in this particular, she occasionally assumed the vacant chair. She was nothing behind her lord in the opinion she entertained of her own charms, having

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