Serdaine. Sed ai.n e. niichel Jean Se'daine, ein nod lebender, vornehms lich durch seine Schauspiele bekannter Dichter. Seine Fleis nern Poesien haben viele Vorzüge in den leichten und naisen Wendungen des Gedankens und deß Ausdrucks. Folgende allerliebste Tåndelei von ihm verdient hier eine Stelle. EPITRE A MON HABIT. Ah! mon habit, que je vous remercie! Par une secrette magie, Cette femme à grands falbalas Un Blondin sur un mot d'usage Un Robin sur des opéras. Ah! mon habit, que je vous remercie! C'est vous qui me valez cela! Un Petit maître m'accabla Et pour m'exprimer fa tendresse Ce Poupart à fimple tonsure, Qui Se'daine. Qui ne songe qu'a vivre, et ne vit que pour loi; Pour ne l'occuper que de moi. Il m'accorda par privilége N'eussent obtenu de ma vie Votre aspect seul me l'attira C'est vous qui me valez cela ! J'entrois jadis d'un air discret; Le moindre Si, le moindre Mnis; Et moi je ne l'etois, jamais; Je parlois bas, je parlois mal. Je me mouchois presqu'au bord de ma poche J'eternuois dans mon chapeau; Il n'en coûtoit de révérence Mais à prelént, mon cher habit Deviennent mes tons favoris: Dieu! quel bonheur pour moi, pour cette étoffe, 1 Beisp. Samml. 3. B. EC i De Se'daine. De ne point habiter ces pays limitrophes Des conquêtes de notre Roi: Dans la Hollande il est une autre loi Ici, l'habit fait valoir l'homme; Là, l'homme fait valoir l'habit. l'éfprit, On le juge sur son écorce. Auch dem Marquis von De'zay, der im J. 1777 farb, verdankt die neuere franzffische Poesie einen Theil des Vors zuges, der ihr in den leichtern und tåndelnden Dichtungsar: ten noch immer blieb, indeß ihr andre Nationen in den hos bern und ernstern voreilten. Man hat von ihm ein reizendes mahlerisches und erzählendes Gedicht, Zelis au Bain, und außerdem vermischte Poesien, unter denen sich einige schöne Episteln befinden, worunter die hier mitgetheilte eine der glücklichsten ift. Etwas zu viel Geschw&ßigkeit, die reiner Versen überhaupt eigen ist, wird doch durch das einnehmen: de Stolorit des Ganzen, und durch manche fein empfundene Züge vergütet. De Pezay., L'amour semble y, puiser sa flame; Mais, hélas ! ... j'ai tant vû ses yeux ! O toi, ma future maitreffe, 1 Après |