Au milieu des prairies qui s'étendent jusqu'aux lieux où cesse toute végétation, apparaissent des cabanes de bergers, des laiteries, des chalets plus ou moins rapprochés, des villages entiers que l'on n'habite qu'en été. Sur le penchant des montagnes... Bulletin de la Société de Géographie - Seite 134von Société de géographie (France) - 1833Vollansicht - Über dieses Buch
| Charles Malo - 1832 - 1344 Seiten
...traient les vaches , les brebis et les chèvres, après le lever de l'étoile du soir, et avant «rue celle du matin disparaisse ; elles vaquent tout le jour à d'autres travaux ; leur fraîcheur et leur franche gaieté feraient entie aux femmes de nos grandes villes. À la Grangelle, au dessus... | |
| Jean Charles F. baron de Ladoucette - 1834 - 680 Seiten
...les chèvres, après le lever de l'étoile du soir, et avant que celle du matin disparaisse; etles vaquent tout le jour à d'autres travaux; leur fraîcheur,...L'une d'elles, sur ma demande, me donna du lait, et refnsa ensuite la pièce d'argent que je lui offris; elle ne concevait pas que je voulusse payer un... | |
| Pierre Augustin Eusèbe Girault de Saint-Fargeau - 1838 - 664 Seiten
...• les brebis et les chèvres , après le lever de l'étoile du soir , et avant que celle dn nalii disparaisse : elles vaquent tout le jour à d'autres travaux; leur fraîcheur, leur frit. gaîlé feraient envie aux femmes de nos grande« villes. A la mi-octobre, quand les pmièrcs... | |
| Girault de Saint-Fargeau - 1844 - 888 Seiten
...Iraient les vaches, les brebis et les chèTTS, après le lever de l'étoile du soir, et avant gae «Ue du matin disparaisse : elles vaquent tout le jour...à d'autres travaux ; leur fraîcheur, leur franche gaieté feraient envie aux femmes de nos grandes villes. A la mi-octobre, quand le premières neiges... | |
| Girault de Saint-Fargeau - 1847 - 950 Seiten
...des montagnes sont des chaumières où les berières traient les vaches, les brebis et les chèwes, après le lever de l'étoile du soir, et avant que...à d'autres travaux ; leur fraîcheur, leur franche gaieté feraient envie aux femmes de nos grandes villes. A la mi-octobre, quand le première« neiges... | |
| Jean Charles François Ladoucette - 1848 - 842 Seiten
...végétation, apparaissent des cabanes de bergers, des laiteries, des chalets plus ou moins rapprochés, des villages entiers que l'on n'habite qu'en été....à d'autres travaux ; leur fraîcheur, leur franche gaieté feraient envie aux femmes de nos grandes villes. L'une d'elles, sur ma demande, me donna du... | |
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