 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 604 Seiten
...tête des affaires , ont pensé que les besoins de l'état étoient les besoins de leurs petites âmes. Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent...qu'on ôte, et cette portion qu'on laisse aux sujets. Ce n'est point à ce que le peuple peut donner, qu'il faut mesurer les revenus publics ; mais à ce... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 456 Seiten
...tête des affaires , ont pensé que les besoins de l'état étoient les besoins de leurs petites ames. Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent...qu'on ôte et cette portion qu'on laisse aux sujets. Ce n'est point à ce que le peuple peut donner qu'il faut mesurer les revenus publics r mais à ce... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1803 - 322 Seiten
...tête des affaires, ont pensé que les besoins de l'état étoient les besoins de leurs petitt-s ames. Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent...qu'on ôte et cette portion qu'on laisse aux sujets. Ce n'est point à ce que le peuple peut donner qu'il faut mesurer les revenus publics , mais à ce^ii'il... | |
 | 1798 - 444 Seiten
...; observations importantes , et sur lesquelles on ne sauroit trop souvent jeter les yenx. Il n'y H rien que la sagesse et la prudence doivent plus régler...qu'on ôte , et cette portion qu'on laisse aux sujets. Ce n'est point à ce que le peuple peut donner qu'il faut mesurer les revenus publics , mais à ce... | |
 | 1815 - 642 Seiten
...peuples. Le partage du peuple en plusieurs factions est une conjuration du peuple contre lui-même. Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent plus régler que la portion de liberté qu'on ôte aux sujets, et la portion qu'on leur en laisse. La milice préfère... | |
 | Charles-Louis de Secondat baron de Montesquieu - 1816 - 296 Seiten
...tête des affaires, ont pensé que 'es besoins de l'état étoient les besoins d leurs petites ames. U n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent plus régler, que cette portion qu'on ôté et cette portion qu'on laisse aux sujets. Ce n'est point à ce nue le :>euple peut donner qu'il... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1817 - 822 Seiten
...tète des affaires , ont pensé que les besoins de l'état étaient les besoins de leurs petites âmes. Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent...qu'on ôte et cette portion qu'on laisse aux sujets. Ce n'est point à ce que le peuple peut donner qu'il faut mesurer les revenus publics , mais à ce... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 584 Seiten
...des affaires, ont pensé que les besoins de l'état étoient les besoins de leurs petites âmes. , Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent...qu'on ôte et cette portion qu'on laisse aux sujets. TOME I. 22 Ce n'est point à ce que le peuple peut donner qu'il faut mesurer les revenus publics ,... | |
 | Albert Fritot - 1821 - 552 Seiten
...des affaires, ont pensé que les besoins de l'État étaient les besoins de leurs petites ames. « Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent...qu'on ôte , et cette portion qu'on laisse aux sujets. « Ce n'est point à ce que le peuple peut donner qu'il faut mesurer les revenus publics , mais à... | |
 | Albert Fritot - 1821 - 542 Seiten
...pensé que les besoins de l'État étaient les besoins de leurs petites ames. « II n'ya rien que'la sagesse et la prudence doivent plus régler, que cette...qu'on ôte , et cette portion qu'on laisse aux sujets. « Ce n'est point à ce que le peuple, peut donner qu'il faut mesurer les revenus publics, mais à... | |
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Il n'ya rien que la sagesse et la prudence doivent plus régler , que cette portion qu'on ôte, et cette portion qu'on laisse aux sujets. Ce n'est point à ce que le peuple peut donner, qu'il faut mesurer les revenus publics ; mais à ce qu'il doit donner... 
